Notre soirée du 5 avril 2024
Grosse affluence pour cette soirée jeu de la Jurande ! En effet, nous avons dû pousser les murs pour permettre à quatre tables de jouer simultanément dans les locaux, ce qui est une première pour nous. De plus en plus de personnes nous rejoignent pendant ces soirées, ce qui ne saurait nous faire plus plaisir !
Les joueurs et joueuses de Lorcana, chez Ravensburger, s’étaient donné rendez-vous pour se lancer dans des duels endiablés à grands coups de Mickey, de Reine des Neige et autres Aladin, tandis que le jeu de société n’était pas en reste. Faute de joueurs de Magic, Jimmy a pu découvrir ce jeu de cartes qui fait le bonheur des fans de Disney. Lorcana fait partie de ce qu’on appelle les jeux de cartes à collectionner – ou évolutifs, c’est selon. Il s’agit de composer un paquet de cartes en respectant des règles de construction de deck – ici.
Jean-Marc et sa troupe se sont lancés dans la suite de leur campagne d’Arkeis, chez Ankama, un jeu d’aventure se déroulant dans les sables d’Egypte, dans les ruines d’un ancien tombeau. Les archéologues y affrontent des monstres et trouvent de mystérieux artefacts sur fond de malédiction d’un ancien pharaon. Quatrième session sur le jeu pour ce groupe qui a toujours l’air aussi accroché !
Camille a pu découvrir Villainous, chez Ravensburger également, avec un groupe de joueurs et joueuses qui découvrait l’association. Une bataille féroce entre Scar, le prince Jean, Izma et Maléfique pour savoir qui serait le plus méchant des méchants de chez Disney. Chaque personnage proposé par le jeu a sa propre façon de se jouer, avec un paquet de cartes qui lui sont propres et des objectifs spécifiques. Une belle asymétrie, donc, et des mécaniques de jeu qui collent vraiment bien à chaque méchant. Et ce fut Izma qui sortit gagnante de cet afrontement !
De mon côté, j’ai pu faire découvrir Inflexibles : Normandie, un jeu de chez Nuts Publishing, à Steve et Jérémie. Il s’agit d’un wargame simple et rapide utilisant des mécaniques de deckbuilding. Chaque joueur commence la partie avec un deck de cartes assez basique qu’i lva pouvoir renforcer en ajoutant des cartes correspondant à ses unités sur le plateau de jeu. Ce qui est malin, c’est que le nombre de cartes de chaque unité dont on dispose représente le nombre de points de vie de ce groupe de soldats. Choix d’actions et mouvements sont primordiaux pour remporter la victoire.
Nous avons terminé par un petit Nidavellir, de chez Grrr Games, excellent jeu de collection de cartes, d’enchères simultanées et de ce “coin building” qui fait son originalité. Pour sélectionner les cartes à ajouter à son tableau, les joueurs misent des pièces, la valeur la plus élevée choisit en premier, et ainsi de suite. Le truc, c’est qu’il existe une pièce de valeur zéro qui permet de fusionner les deux pièces mises en réserve pour le tour, ce qui permet de récupérer une pièce de valeur plus importante. Faut-il sacrifier un choix pour améliorer ses pièces ? Quelle série de carte renforcer ? Autant de choix cornéliens que de tours !